Sa première exposition s’est tenue en 1980, Place des Vosges à Paris à la Galerie « Naïfs du Monde Entier » et a été suivie de beaucoup d’autres, notamment en Suisse, en Allemagne, en Alsace et dans notre région. Près de 300 tableaux ont été reproduits et édités en cartes postales, cartes de vœux, notamment pour l’Unicef et l’Unesco. Par ailleurs, il a réalisé de nombreuses illustrations : calendriers, affiches, livres, fresques. Les Presses du Belvédère lui ont consacré un livre « La Franche-Comté de Denis BAUQUIER ». TF 1 et FR 3 ont réalisé plusieurs reportages sur sa peinture. Denis BAUQUIER aime à répéter la citation de Jean Guéhenno : « c’est dans les images d’enfance que se forme la couleur de l’âme »
La Presse :
« Denis BAUQUIER crée une peinture tout en transparence, avec des couleurs fluides, une palette réduire au gris, bleu, ocre ou blanc pur. Dans ses représentations villageoises, ses personnages, habilement disposés, vaquent à leurs occupations avec une tranquille disponibilité. A travers ses scènes minimales, apparaît toujours le patrimoine de l’artiste, héritage glané dans cet Est de la France qui sait si bien entretenir la richesse de ses racines. Il y a du rêve, de la poésie et de l’intemporel dans les toiles de Denis BAUQUIER. Il y a aussi un réalisme tranquille qui laisse croire en l’existence d’une vie sans nuages dans les villages de Franche-Comté qu’il représente. Entrer dans l’œuvre de Denis BAUQUIER, c’est pénétrer dans un univers d’une étonnante sérénité. La peinture primitive moderne célèbre en lui des retrouvailles avec toute la sensibilité caractéristique de ses origines. »
La Gazette – novembre 2003 – Galerie PRO ARTE KASPER – MORGES (Suisse)
« Un peintre qui aime réinventer un monde disparu sans cacher sa nostalgie pour le temps où les gamins tiraient des luges en bois, où les rossignols chantaient sur les fils à linge, où le renard cherchait querelle aux poules, où les stères de bois bien rangés attendaient de s’embraser dans l’âtre. Ses œuvres idéalistes sont empreintes d’une rare douceur, d’une bienveillance étonnante ». L’Est Républicain – décembre 2005
« Ses œuvres respirent la joie de vivre, la gaieté et la sérénité. Elles sont une invitation à l’évasion, car devant ses paysages, ses scènes de vie, on se surprend à rêver d’un monde semblable » L’Est Républicain – juillet 2004
« La finesse du détail, la précision du trait, l’harmonie toujours très douce des couleurs, font de cette peinture un véritable hymne à la vie : d’autant que nombre de paysages, places, rues et maisons se retrouvent peuplés de moult personnages qui font la moisson, rentrent à ski, jouent autour d’une fontaine ou discutent devant une boulangerie. Denis BAUQUIER a une véritable prédilection pour les paysages d’hiver qu’il nous restitue quasiment avec l’œil attendri de l’enfance : les grands toits recouverts de neige abritent de doux et chaleureux secrets, les cheminées fument, les enfants font de la luge et les grands vont faire leurs courses ou promènent leurs chiens ». Les Dernières Nouvelles d’Alsace – décembre 1997